Psychologie du travail
Le travail vient à l’origine du mot latin, « tripalium » qui signifie « instrument de torture », en anglais le mot travaille se traduit par « labour » qui vient du mot labeur. Ainsi, on constate que depuis toujours, le travaille est considéré par l’être humain comme une nécessité, cause de souffrance.
Pourtant le travail est aussi cause de bonheur, nombre de personne sont passionnés par leur travail et considèrent celui-ci comme l’objet le plus important de leur vie. Les artistes ajoutent la notion de passion à leur travail, cette spécificité peut se retrouver également dans des domaines très larges.
Le travail effectué par un individu renvoie à son statut social (cf : la nomenclature des PCF), ce qui explique notamment le fait que l’absence d’emploi renvoie à la souffrance.
Si le travail peut être synonyme de souffrance chez uns, il est aussi synonyme de bonheur chez d’autres.
En psychologie du travail et des organisations, on s’intéresse au comportement des salariés au sein d’une organisation. De plus, avec les mutations de la société, la psychologie du travail et des organisations apporte des modèles et des méthodes qui permettent de mieux comprendre et d’améliorer le rapport entre l’individu et son travail qu’il occupe. Ici, dans l’extrait vidéo étudié, « J’ai très mal au travail », tous les personnages interrogés se préoccupent du double sens que désigne le mot travail (malheur/bonheur), ainsi que les conséquences des mutations économiques et sociales de la société sur le salarié et donc principalement aux problèmes de mal-être au travail.
Tout d’abord les modes d’organisations du travail ont évolué avec le monde de l’entreprise, celle-ci qui a connu depuis le XIXème siècle, trois grandes phases :
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