Question transversale

Bien que les 3 textes du corpus ne soient pas écrit, à la même époque, ils existent une similitude thématique. Tous traitent d’une réflexion sur l’homme et son comportement dans la société à travers une morale, comme dans les Lettres à Ménécée de Epicure en -341/-270 ou encore Arthur SCHOPENHAVER dans Parerga et Paralipomena écrit en 1851, ou bien dans les Les journée perdues de Dino BUZZATI de 1982. Nous analyserons dans un premier temps les différents enseignements présents, puis dans un deuxième temps nous mettrons en lumières les différentes stratégies argumentatives utilisées par ces 3 auteurs.

Dans un premier temps nous verrons les différents enseignements présents dans chaque un des textes du corpus. Il est important de constater que ces 3 textes traitent de l’Homme et de son comportement personnel et dans la société. En effet Epicure, dans ces lettres à portées argumentatives et philosophique, parle des Hommes et de leur peur de la mort. Il apporte à la société un réflexion sur la mort qui doit la faire réfléchir sur le fait qu’elle « n’existe ni pour les vivants ni pour les mort » ligne 7. La thèse d’Epicure se trouve dans les dernière lignes sous forme de la morale, très explicite et facile a comprendre par le lecteur: « la mort n’existe donc ni pour les vivants, ni pour les morts puisque pour les uns elle n’est pas et que les autres ne sont plus . » ligne 6 à 8. Il en est de même pour la thèse explicite de l’auteur Arthur SCHOPENHAUER. En effet, celle-ci ce trouve en fin de texte : « Celui-là cependant qui possède beaucoup de calorique propre préfère rester en dehors de la société pour n’éprouver ni ne causer de peine » ligne 22 à 24. Arthur SCHOPENHAUER décrit quand à lui, l’Homme à travers la métaphore « du troupeau de porcs-épics », il décrit aussi le fait que l’homme préfère avoir froid que être blesser . Il met en lumière ce que l’homme refuse de voir, ce qui peut aboutir à une nouvel réflexion sur l’égoïsme et