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SEQUENCE IV : L’engagement de l’écrivain

Le Message d’Andrée CHEDID

1 . Le commentaire littéraire

Le nom de l’auteur ici est Andrée CHEDID, le titre de l’œuvre qu’elle a écrite est Le Message. La première date de parution est en 2000. C’est un roman dramatique, c’est des aventures imaginaires et c’est aussi un récit sentimental.

Nous allons, dans ce commentaire de l’incipit, nous intéresser à la balle tenace qui tue Marie, ensuite au gentils et beau Steph pour enfin finir avec la relation des deux personnages ci-dessus. Marie va-t-elle voir Steph ?

Tout d’abord, les lignes 9 et 16 il y a les mots « taches de sang » et « baignée de sang », ces mots « sang » sont utilisés pour bien montré l’impact de la balle que Marie a reçue dans l’épaule. Au lignes 3 puis 19, avec les adjectifs « cuisant », « aigu », « bref » ainsi que « superficielle » puis les verbes « brulée », ligne 17, « transpercée » et « lâchée » de la ligne 18, nous indiquent que la balle lui fait mal et qu’elle est assez profonde. Les groupes nominaux « Marie ne veut pas en savoir plus » à la ligne 17, « Il faut l’ignorer » ligne 19 et « Faire comme si de rien ne s’était passé » ligne 20, prouvent qu’elle ne veut pas faire y faire attention et qu’elle veut juste rejoindre Steph qui l’attend sur le pont. Au ligne 8, 9 et 10 nous trouvons le champs lexical de l’extérieur avec les groupes nominaux « arbres déracinés », « la chaussée défoncée », « les taches de sang rouillées sur le macadam » ou encore « les rectangles béants et carbonisés des immeubles » relève qu’ou marie s’aventurait, c’était un vrai champ de bataille.

Ensuite, nous retrouvons ici le champs lexical de l’extérieur mais qui ici nous dit qu’ou habite Steph c’est plus calme qu’ou est passé Marie avec les groupe nominaux des lignes 26 et 27 « à l’autre extrémité de la ville », « parmi les collines » et « près du chantier des fouilles ». Aux lignes 31 et 32 il y a les verbes « courir », « s’arrêter », «