Tout désir traduit un manque : on désir toujours ce qu'on a pas et on ne désir pas ce qu'on a. Le désir me révèle à moi meme, sous un aspect que j'ignorai de moi. C'est un aspect que j'accepte plus ou moins. Le déir me dépasse. D'ailleurs il n'y a pas d'expression positive du désir : "fièvre du désir", "malade de désir". Le désir me révèle dans mes faiblese par exemple : Platon, "République", IV, "Léontios et les cadavres". Léontios est un citoyen d'athènes qui a reçu une bonne éducation. UN jour quand il se promène le long des remparts de la cité il voit la foule autour d'un cadavre exécuté: celle ci le regarde. Leontios se dit qu'il n'ira pas voir ça et à la fin il pousse des coudes pour le regarder.
Je ne controle pas mon désir, je n'en suis pas maitre.
Le désir et le plaisir ne sont pas compatibles car le plaisir met fin au désir. "Kant" le désir sexuel ce n'est pas iné, c'est aquis, c'est culturel, ce n'est pas naturel. Au départ l'etre humain est attiré par la juissance immédiate puis il se rend compte que s'il différer cette satisfaction il ressentait du plaisir. Donc l'etre humai, a progressivement étendu la durée de manière a ressentir plus longtemps du désir. Tant que l'etre humain était nu il ne devait pas y avoir du désir du corps car il était apparenté, familier donc banal. Par contre l'invention du vêtement va cacher la nudité et donc provoquer un travail de l'imagination qui entraîne le