Quand vous serez bien vieille
Dans ce poème, on retrouve quatre temps de verbes qui montrent bien l’évolution du temps. Effectivement, l’auteur de ce sonnet voyage dans le temps en se servant du futur simple, du participe présent, de l’imparfait et puis de l’impératif présent. L’écrivain se projette dans le futur en utilisant les verbes suivants qui ont une même consonne au début des verbes qui est donc une allitération en [s], sauf évidemment le deuxième, et en [r] : «