Que gagne-t-on à travailler ?
Lorsque qu'on pense à ce qu'est le vrai du travail, on peut penser que c'est contradictoire, car le travail est à la fois recherché par beaucoup mais aussi évité. En effet, depuis la révolution industrielle, le doit au travail s'installe dans beaucoup de pays, le travail apparaît donc nécessaire à la réalisation sociale et personnelle d'un individu. Le travail en tant qu'emploi, peut apporter à l'homme une garantie de conditions de vie minimum, en revanche on s'aperçoit qu'il peut faire apparaître plusieurs formes d'aliénation.
Cependant au-delà d'aider l'homme socialement, le travail lui apporte une réelle transformation de lui même.
Aussi, au-delà d’une nécessité vitale, l’homme peut se livrer à une forme d’activisme sans y aller a un point, à y perdre de lui même. Mais alors, que gagne t-on à travailler ? Nous verrons alors ce que l'homme perd en travaillant, mais mal-grès le fait que l'homme peut y perdre, il a aussi beaucoup à gagner a travailler. Enfin, nous quel est le juste milieu dans ce qu'on a perdre ou à gagner en travaillant.
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En travaillant, l'homme y perd une partie de lui même. En effet, dès l'apparition du travail, il est très vite perçu comme contrainte. Prenons l'origine du mot « travail »en latin dit « tripalium », qui veux dire torture. On peut donc dès lors se poser la question du bien-fait du travail. Le travail, ne rend donc t-il pas l'homme esclave ?
En effet pour les grecs de Antiquité, tout comme Arendt, le travail est perçu comme une labeur, et donc est imposé uniquement aux esclaves ou barbares. Car ils considèrent que le travail ne fait pas parti des activités dîtes de plaisir, comme le sport, la politique ou la guerre. Le travail n'est fait avant tout que pour répondre à nos besoins, que la nature ne produit pas, ou bien qui les produit, mais de manière inexploitable sous sa forme originelle. Le travail était donc réservé aux hommes non