Quelles opposions existent entre les thèmes fondamentaux et les thèmes ordinaires de la poésie.

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Selon leurs courants littéraires, les poètes utilisent des sujets très différents, voire contradictoires. Par exemple le poète lyrique décrit la beauté et exagère les sentiments tandis que l’auteur réaliste dira simplement et franchement la vérité, sans gêne et sans craindre d’heurter.
Nous nous demanderons quelles opposions existent entre les thèmes fondamentaux et les thèmes ordinaires de la poésie.
Nous verrons qu’il y a en effet une grande distinction entre ces différents thèmes mais que chacun à son intérêt. Enfin nous comprendrons que le but de la poésie reste le même pour tous les thèmes : il s’agit de réfléchir le lecteur. Deux ensembles s’opposent : les fondamentaux et les ordinaires. Ces deux catégories ont de grandes différences telles que leurs sujets, leurs formes et leurs styles. Le choix des sujets opposent ces deux ensembles. Les fondamentaux choisiront des thèmes comme l’expression sincère ou exagérée des sentiments, l’héroïsme ou encore la religion. Par ce fait les poètes ont sûrement fait le choix de respecter les coutumes classiques de la poésie et ils ne voient pas l’intérêt de s’occuper d’autres thèmes qui ne feront pas rêver le lecteur, donc qui selon eux ne l’intéresseront pas. Prenons l’exemple du poème de Victor Hugo « Aimons toujours ! Aimons encore ! », dans ce texte l’auteur y décrit l’amour qu’il qualifie « d’hymne de la nuit » ou encore de « cri de l’aurore ». En revanche les poèmes ordinaires choisiront des sujets beaucoup moins sophistiqués dans le but de toucher le quotidien du lecteur. Dans le poème de Charles Baudelaire « Les Fenêtres », l’auteur décrit des personnes inconnues à travers une fenêtre ce que n’importe quel individu pourrait s’amuser à faire. Les poèmes fondamentaux et les poèmes ordinaires peuvent adopter des formes esthétiques différentes. Les fondamentaux choisiront surtout une forme classique, afin de continuer à préserver les coutumes de la poésie, comme le sonnet de Ronsard « Mignonne ». Quant aux

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