Quelque chose qui ne faut pas prendre
Les murs, les barbelés, les caméras, les milices, quatre mots du champ lexical de la prison, une prison « paradisiaque » où il est libre de faire ce que l’on veut. Libre ? Non, pas totalement libre, libre de ces faits et geste, qui ne portent atteinte à la vie communautaire de la Zona. Une bavure dans ce type de système n’est pas considéré comme un délit, il évite que l’affaire ne fasse trop parler d’elle et achète le silence des personnes. Le regret, c’est ce qui hante les habitants d’avoir pêché et d’avoir étouffé sans que justice soit faite. Tout ce système, en font des personnes « anarchiste », en effet avec tous les événements qui se dérouleront au fil du film, certaines personne ne voulant pas que sa se passe comme sa, envisage de quitté la