Quentin kleis
de la fin de la seconde guerre mondiale au début des années soixante-dix est le résultat du bouleversement du secteur intervenu après les ordonnances de 1944.
Juste après la Libération, on assiste à la naissance ou renaissance, c’est selon, d’une profusion de titres, dans des circonstances politiques troubles et dans un contexte économique difficile pour la presse, lié notamment à une pénurie prononcée de papier.
Les journaux des partis politiques et les petits titres n’étant pas parvenus à atteindre une taille minimale efficiente vont assez rapidement disparaître. Ce sera notamment le cas du Messin (disparu en 1946), de L’Eclair de L’Est (disparu en 1949)
· la seconde, du début des années 50 au début des années 80 est une phase de stabilisation de la presse qui voit se développer des mouvements de concentration. En seront notamment victimes en Lorraine : Le Lorrain (disparu en 1969) ; ce sera également le cas des organes du Parti Communiste (Le Prolétaire de l’Est, disparu en
1956) et du parti socialiste (Le Populaire de l’Est, disparu en 1960)4.
Cette phase est celle qui consacre les 3 « grands » de la presse lorraine : L’Est
Républicain, Le Républicain Lorrain et La Liberté de l’Est.
La Liberté de l'Est a disparu le 31 Décembre 2008 en fusionnant avec L'Est Républicain, pour créer Vosges-Matin..
Depuis les ordonnances de 1944, le paysage de la presse est bouleversé. A la fin de la guerre, il y a une pénurie de papier et un contexte économique difficile pour la presse. Les journaux des partis politiques et les petits titres vont disparaître assez rapidement. C’est le cas du Messin , de l’Eclair de l’Est , l’Echo de Nancy ou encore le Progrès de l’Est.
Problématique : depuis 1919 , le républicain lorrain et l’un des piliers de la PQR en lorraine. Malgré une concurrence acharné avec l’est républicain comment le répu a-t-il pu maintenir son leader ship en Moselle et dans le