Ce corpus de textes présente quatre extraits théâtrales présentant des rois de différents endroits. Tous ces extraits insistent sue l'abus du pouvoir infligé par les rois. Dans ses quatre textes, les auteurs nous présentent des rois qui ne remplissent pas leur fonctions, qui il posent leurs propres règles par la terreur, et la critique de la tyrannie.
Nous allons donc voir les différentes figures de rois proposé par les auteurs dans chacun des extraits présents.
Dans le premier extrait, Alfred Jarry nous présente un roi mégalomane. Il est avide de pouvoir et de richesse, pour cela, il n'hésite pas a utiliser la terreur afin d'arriver à ses faims.
"Il parait qu'il va doubler les impôts et que le Père Ubu viendra les ramasser lui-même". Cette phrase montre bien que le Père Ubu, nouveau roi de Pologne, utilise de son pouvoir et fait le travail lui-même pour être sûr que tout se déroulera selon ses envies.
Dans le second extrait, Jean-Paul Sartre nous montre un roi victime de la tragédie de l'usurpateur. En effet, Egisthe, après avoir assassiné le roi et épousé sa femme, et a instauré le terreur. On retrouve ici un roi vulgaire et remplis de remords. "Je regrette d'avoir du punir Electre", "Femme, ce n'est pas pour toi que je le regrette", "Laisse-moi, catin!". Ici, nous pouvons voir que l'homme a des regrets envers les personnes auquel il a fait du mal, il se rend compte qu'il a utilisé son pouvoir sans fondement moral.
Dans le troisième extrait, Albert Camus montre un roi sans coeur qui détruit tout autour de lui. Il se comporte en roi indigne et mal poli. "Tu as l'air de mauvaise humeur. Serait-ce parce que j'ai fais mourir ton fils?". Caligua ce montre audieux. Il crée la souffrance envers ses amis et impose ses cruels caprices par la peur, il se montre tyrannique. On peut croire qu'il rejet la faute de tous ses malheurs sur les autres. Chacun des ses propos sont ironiques.
Dans le quatrième texte, Eugène Ionesco nous présente un roi perdu, refusant