Question de Corpus

Le corpus de texte nous montre les différentes utopies ou dystopies imaginées par Rabelais dans Gargantua, écrit en 1534, par Bradbury dans Fahrenheit 451, écrit en 1953, par Zola dans Travail, écrit en 1901 et pour finir de Huxley dans Le meilleur des mondes écrit en 1932. Nous expliquerons les caractéristiques de l’utopie et de la dystopies et nous relierons les textes concernés par l’utopie et les textes concernés par la dystopies. Les caractéristiques de l’utopie est que tout est construit par l’imagination d’une société, qui constitue, par rapport à celui qui la réalise, un idéal ou un contre-idéal. Dans Gargantua, Rabelais décrit un système libre où tout le monde suit sa propre volonté. C’est le système parfait où rien ne leur est interdit, ils peuvent agir comme bon leur semble. Comme il est cité dans le texte « Et leur règlement se limitait à cette clause : FAIS CE QUE TU VOUDRAS ». « Si l’un ou l’une d’entre eux disait : « buvons », tous buvaient ; si on disait « jouons », tous jouaient … » comme il nous l’est montré dans cette citation tout le monde est égaux et choisit ses propre décision. Tout est à peu près pareil pour Zola dans Travail sauf que lui c’est un système fraternel, réconcilié dans le commun idéal. « Le bonheur de chacun était pratiquement fait du bonheur de tous. » cette citation nous montre bien que ces gens sont heureux et que aucun mal où ne les séparera. Grace au commerce le vol avait disparu ; l’héritage n’existait pour éviter qu’ils naissent des privilégiés. Tous les problèmes étaient réglés plus de guerre, plus de meurtre, plus de vol ou de loi de travail aucun n’était dirigée par quelqu’un tous étaient égaux.
On voit bien que ces deux systèmes possèdent des points communs « un système parfais, s’en contraintes ni interdiction et surtout d’une liberté irrévocable. » Les caractéristiques de la dystopies ou contre-utopie est un récit de fiction peignant une société imaginaire