L'analyses des différents procédés liettéraire utiliser pour denoncer la guerre.
Dans la littérature, la Guerre est un sujet récurant .En effet ce corpus fédère 4 textes s'attelant sur une amplitude allant de 1750 à 1935 , qui dénoncent la guerre. Le corpus comporte des texte de divers genres : un extrait des caractères de J de La B, un l'article de l'encyclopédie de 1750 à 1772 , la définition de «guerre» dans le Dictionnaire philosophique de Voltaire et une pièce de théâtre.
Il conviendra ici d'examiner par quels procédés littéraire la guerre est-elle dénoncée. En effet , ces différents auteurs utilisent différents procédés littéraires pour dénoncer la guerre. Jean de La Bruyère , dans Du souverain ou de la République utilise une figure d'insistance, l'accumulation, pour prouver le coter destructeur de la guerre: «On l'a toujours vue remplir le monde de veuves et d'orphelins, épuiser les familles d'héritiers, et faire périr les frères a une même bataille.» (1-2) Il utilise ce procédés également pour montrer à quelle point il plaint la mort causée par la guerre du Jeune Soyecour et regrette cet homme si bon: « je regrette ta vertu , ta pudeur , ton esprit déjà mur , pénétrant , élevé , sociable ». (3) . Ensuite, avec se procédé de gradation : « ...se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres » (6-7) La Bruyère montre l'horreur des guerres pour si peu de choses : « pour quelques morceaux de terre de plus ou de moins» (5-6).
Et en fin il utilise un euphémisme pour montrer que les hommes on camoufler l'horreur de la guerre avec « de belles règles que l'on appelle l'art militaire : ...» (7-..)
Dans l'encyclopédie de 1750 à 1772 le mots et guerre est opposée au mots paix et les auteur de cet article utilise une figure d'équivalence pour comparer la guerre au «fruit de la dépravation des hommes » (1) «C'est une maladie convulsive et violente ». (1-2). Après avoir décrit la paix , il l'oppose à la guerre « La guerre au contraire» et dans une longue phrase ils énumèrent ses tard : «dépeuple les