Ce corpus est constitué de trois extraits de romans. Tous ont pour personnage principal une femme. Le texte de Céline, Mort à crédit et de Romain Gary, La vie devant soi, sont tous deux issus du XXème siècle. Celui de Victor Hugo, Les misérables date lui du XIXème siècle. Il s’agira de montrer ici qu'elle regard ces différents textes portent sur les femmes du peuple. Dans l'extrait Les misérables le narrateur est externe à lhistoire il utilise le pronom personel "elle" (l-1), et connaît tout de son personnage, c’est un narrateur omniscient. A la difference des deux autres extraits de Céline et de Romain Gary, qui eux utilise un narrateur personnage, et donc le pronom peronnel "je" à de nombreuses reprises dans leurs romans. Dans ces textes on peut remarquer l'affection que portent les narrateur pour ces femmes. En effet, c'est le cas du roman Mort à crédit où Céline décrit la défeinte: "C'est une douce et gentille et fidèle amie" (l-8). De même pour le roman de Romain Gary; "Je croyais que Madame rosa m'aimais bien pour rien, contait le narrateur attristé,et qu'on était quelqu'un l'un pour l'autre. J'en est pleuré toute une nuit et c'était mon premier grand chagrin" (l-19 à 20). On peut de plus observer dans ces extraits l'admiration qu'ont les narrateur pour ces personnages principales; Comme le montre l'extraits du roman Les misérables: "Elle haïssait profondément le père Madelaine, et ne se plaignait pas" (l-20 à 21). De même pour l'extrait La vie devant soi, "C'était une vraie source de vie quotidienne, avec tous ces soucis et les peines, l'admirait Momo" (l-3 à 4). En dernier lieux on remarque une indignation des narrateurs face aux modes de vie de leur héroïnes. C'est le cas pour Les misérables, "Dix sept heures de travailles, et neuf sous par jour!, s'indignait le narrateur" (l-24 à 25). De même pour l'extrait de Romain Gary ou le narrateur nous dit: "Avec tous ces kilos qu'elles portait sur elle et seulement deux jambe" (l- 2 et