question sur le corpus
Tout d' abord la femme est montrée soumise et inférieure à l'homme dans la société et ceci dans les trois textes. Nous pouvons voir cela dans la phrase " J' ai été poupée-femme chez toi, comme j' ai été popée-enfant chez papa " ( l 31 ) du texte de Henrik Ibsen, ainsi que dans la phrase " Prétendez-vus m' oter la barbe du menton ? Cela vous sied bien, femmelette ! " pronncé par un homme dans le texte de George Sand ( l 9-10 ); qui font ressortir le coté "objet " qui est associé à la femme à coté de l' homme représenté comme tout puissant. Des ces documents en ressort aussi l' idée que la femme ne peut pas se meler de tout : " la gravité de la magistrature et la décence du barreau ne s' accorderaient jamais avec un un bonnet carré sur une cornette! " ( l 18-19 ) dans le texte de Marivaux et " Aurais-je du t' initier à mes soucis que tu n'aurais pas pu soulager ? " ( l 8 ) dans le texte de Henrik Ibsen.
Nous pouvons ensuite voir comment la femme peut effrayer l'homme par ses capacités intellectuelles quand elle décide de se rebeller. Dans le texte de Marivaux les homme croient carément à une blague quand les femmes décident d' établir les régles : " Mais qu' est-ce que c' est que cette mauvaise plaisenterie-là ? " ( l 1 ); tendis que dans le texte de George Send le mari en devient violent quans sa femme lui tient tete : " - Vous croyez ? dit- il en lui meurtrisant la main entre son index et son pouce. " ( l 21 ). Ses réactions de la part des hommes montrent la surprise et l'