Question transmission
L’objet de cet écrit ne constitue qu’une tentative de participation à notre responsabilisation, en tant qu’être humain, à créer ce qui nous semble le plus juste pour nous-mêmes et en cohérence avec notre représentation du monde. Comment vivre en harmonie avec la réalité, reconnaître notre responsabilité à élever les consciences vers le sentiment d’interdépendance ?
Comment se sentir libre de se mouvoir, d’accéder au bonheur, de s’affranchir des pires monstruosités qui nous assaillent sans se meurtrir, dans ce pseudo-sentiment de culpabilité ?
Comment reconnaître que nos pensées ne participent souvent qu’à un besoin vital de croire et de s’illusionner, tout simplement pour donner sens à notre existence ?
Pourquoi sommes-nous si effrayés à reconnaître nos erreurs, mais également notre pouvoir à transformer le monde ?
Pourquoi la différence nous dérange-t-elle, pourquoi mobilise-t-elle tant d’énergie pour l’attaquer ou la défendre, pourquoi contient-elle un tel pouvoir attractif et répulsif ?
Que recouvre le concept de condition humaine ? Nous enferme-t-il ou bien ouvre-t-il de nouvelles voies d’exercice de sa liberté ?
Pourquoi la question ouvre-t-elle plus au changement lorsqu’elle s’inscrit dans la réflexion du comment que dans l’illusion du pourquoi ?
Pourquoi la question répond-elle mieux lorsqu’on la pose ou que l’on se la pose que lorsqu’on y répond ?
Comment nous engageons-nous lorsque nous transmettons à nos enfants, à nos élèves, à nos étudiants, à nos parents, à notre entourage proche et à tout ceux qui se rendent disponible pour cela ?
Qu’est-ce qui nous rend si frileux, voire craintif à nous laisser influencer, alors même qu’il semble vain d’y échapper ?
Comment acquérir cette confiance à prendre des risques sans s’oublier ?
Comment identifier ses propres ressources pour accueillir l’imperfection, sans se sentir en danger ?
Pourquoi semble t-il si dangereux de choisir que Croyance serait plus fiable Vérité et que par ce