Quick
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Question 1
Au début des années 80 le critère de Quick pour s’implanter était d’être à proximité de son principal concurrent, le géant McDonald’s.
Quick utilise donc la stratégie de suiveur en s’implantant à proximité des McDo puisque d’après lui McDo ne se trompe jamais et le premier critère de choix pour le client est sa proximité.
Question 2
La stratégie d’internationalisation de Quick est liée à celle de McDonald’s car Quick a choisi d’opter pour une stratégie d’imitation. En effet, lorsque McDonald’s s’implante quelque part Quick fait en sorte d’être à proximité de celui-ci. McDonald’s et Quick vise pour une stratégie de proximité mais le second profite de l’étude de marché du premier. Cette stratégie de suiveur de Quick par rapport à McDonald’s est justifié par ses moyens limités. Comme l’explique le PDG de Quick France, Jean-Pierre GRANIE : « Quand McDonald’s s’installe quelque part, en général, il ne se trompe pas. Alors ne regardons s’il n’y a pas de la place pour deux ».
De même en ce qui concerne les sandwichs. La stratégie d’imitation est également omniprésente : face au produit vedette de McDonald’s, le Big mac, Quick propose également son produit vedette ; Le Giant.
Cette stratégie d’imitation et de suiveur a été bénéfique pour Quick et lui a permis de se faire une place dans ce marché quasi monopolisé par McDonald’s.
Quick se définit alors comme « la Vietnam » de McDonald’s.
Question 3
Avant d’énoncer les différents facteurs ayant permis la réussite du groupe Belge dans certaines zones, il est tout d’abord important de souligner le fait que Quick à dans un premier temps copier le produit phare de McDonald’s, le Big Mac, par l’intermédiaire du Giant. Celui-ci lui a ainsi donné le moyen à Quick de devenir le numéro 1 en Belgique, seul pays dans lequel McDonald’s n’est pas en tête. C’est pourquoi, Quick apparaît alors aujourd’hui comme une épine dans le pied du leader mondial américain.
Cependant, ce