qul portrait ces extraits font t'ils de l'homme révolté
Le corpus que nous avons étudier est composer de quatre extrait de texte:
Discours de la servitude volontaire,(1574) de Etienne de La Boétie; Confessions (livre I), (1782) de Jean-Jacques Rousseau; L’Homme révolté, (1951) de Albert Camus et Préface de L’Honneur des poètes, (1943) de Paul Eluard.
Ces textes malgré leur différences d'époques et de mouvements présentent tous une forte indignation et un certain désir de révolte commun. Nous allons donc analyser le portrait de l'Homme révolté a partir de ces extrait.
La Boétie, révolté et altruiste se préoccupe du sort de l'humanité: «Pauvres gens misérable, peuples insensés, nations opiniâtres à votre mal et aveugles à votre bien !» (l.1) Camus lui appelle à se dresser et a dire "non", il donne même sa définition de révolte: «Qu’est ce qu’un Homme révolté ? Un Homme qui dit non» (l.1) et de révolte: «La révolte ne va pas sans le sentiment d’avoir soi-même, en quelque façon, et en quelque part, raison.» (l.14) puis se que selon lui s'est en pensant avoir raison que l'on viens à se révolter: «La révolte ne va pas sans le sentiment d’avoir soi-même, en quelque façon, et en quelque part, raison.» (l.14). Les deux écrivain ont donc a cœur l'homme et son désir de l'liberté et d'insoumission: « Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres.».
Paul Eluard, lui, avec les même idéologies de révolte et libérée de l'homme, vas plutôt privilégier une voix plus positive et réfléchie, avec l'espoir que quelqu'un agira: « crie, accuse, espère.» (l.12)
En fin après une lecture plus poussée de l'extrait de l'œuvre de Rousseau, Confession; on comprend vite que contrairement au trois autre auteurs, l'altruisme n'est pas vraiment sa principale vertu, et la défense de l'Homme, du peuple et d'autrui passe en second plan après