Dans Neige de Maxence Fermine l'histoire racontée est celle d'un jeune poète Yuko qui vit au Japon avec son père, un prêtre. Après être resté 7 jours au sommet de la montagne il revient et est décidé ; il sera poète, au détriment du souhait de son père. Chaque hiver il s'isole dans la montagne et écrit soixante-dix-sept Haïku (genre poétique nippon), un Haïku par jour. Le reste de l'année il avait promis à son père de ne pas en écrire. Un jour, un poète de la cour de Meiji vint chez Yuko alors que celui ci était en montagne, il regarda ses Haïku avec son père, il s'en émerveilla mais déclara que ceux ci manquaient de couleur. Le poète de la cour de Meiji proposa au père de Yuko d'envoyer son fils à la cour de Meiji comme poète après que Yuko ait acquis « l'art de la couleur » chez un « expert » confirmé. Mais lorsque Yuko apprit cette proposition, il refusa, et décida qu'il n'y irait qu'après n'avoir écrit dix milles syllabes, soit sept années de travail.
Deux ans plus tard le poète de la cour de Meiji revint avec une jeune fille et réitéra sa proposition.
Yuko tomba amoureux de la jeune fille et accepta finalement de se rendre chez le maître Soseki, érudit japonais d'une grande notoriété. En cours de route il croisa par hasard, emprisonné dans un cercueil de glace une jeune femme blonde européenne qu'il trouva incroyablement belle. Il continua son chemin et arriva chez Soseki. Il rencontra le serviteur de Soseki, Horoshi qui accueilli, le maître était aveugle et âgé, il n'enseignait qu'aux élèves de qualité. Le temps passe, cours après cours, un soir Yuko demande à Horoshi de lui raconter l'histoire de Soseki, Horoshi dit que Soseki était autrefois Samouraï mais qu'il fut profondément marqué par la guerre, il trouva un jour la femme de sa vie, c'était une funambule blonde française du nom de Neige, il eût une fille avec elle du nom de Flocon du Printemps, ils était heureux, mais un jour Neige voulut recouvrir métier qui lui manquait beaucoup, elle décida une