Résistance
Octobre 43 les Boches décident d’enlever six avions ainsi que deux prototype de l’usine du Fouga pour les envoyer en Allemagne. Notre réseau de résistants prend rapidement la décision de faire réduire à l’état de charbon ces avions pour que les allemands ne puissent pas les utiliser contre nos alliés. La décision a été prise, un commando sera envoyé pour saboter les avions.
Lundi 30 novembre à minuit, la nuit est froide, le lieu infesté d’allemands. Nous pénétrons dans l’enceinte de l’usine, là nous trouvons les deux prototypes ainsi que les six autres avions. Le seul problème c’est qu’ils sont exposés sur la voix ferrée qui est surveillée par un petit groupe d’allemands. Faix surveille l’entrée du bâtiment, pendant que je me faufile avec Daudon derrière les avions. Sans me faire repérer par les allemands je place les explosifs qui dans l’heure qui suit devraient exploser et réduire en miette ces machines infernales. Immédiatement après avoir mis les charges explosives nous courons nous mettre à l’abri mais à peine sommes-nous à plat ventre que déjà les première bombe explosent faisant voler en éclat les avions de nos ennemis et nous donnant le sentiment du devoir accompli. Mais il faut nous dépêcher car rapidement les allemands se mettent à notre recherche. Quelques jours plus tard j’ai reçu une lettre du chef régional « Rivier » pour me féliciter du joli feu d’artifice que j’avais pu offrir aux allemands.
Le sabotage
Octobre 43 les Boches décident d’enlever six avions ainsi que deux prototype de l’usine du Fouga pour les envoyer en Allemagne. Notre réseau de résistants prend rapidement la décision de faire réduire à l’état de charbon ces avions pour que les allemands ne puissent pas les utiliser contre nos alliés. La décision a été prise, un commando sera envoyé pour saboter les avions.
Lundi 30 novembre à minuit, la nuit est froide, le lieu infesté d’allemands. Nous pénétrons dans l’enceinte de l’usine, là nous trouvons les deux prototypes