Chapitre 1 :
Le narrateur fait une description d’une petite ruelle dans Paris, il décrit ensuite une petite mercerie de la ruelle. Le narrateur décrit aussi les personnages tenant la mercerie, il les décrit le soir entrain de monter se coucher dans leurs appartements.
Chapitre 2 :
Le narrateur raconte la vie de Mme Raquin, qui a été Mercière à Vernon. Après la mort de son mari elle vendit sa boutique pour acheter une maison au bord de la Seine où elle emmena son fils et sa nièce. Son fils Camille durant sa jeunesse eut toutes les maladies imaginables, sa mère le guéri à chaque fois, mais il garda des séquelles, il resta petit, malingre, frêle. Camille eut une petite éduction mais réussit à trouver du travail à l’âge de dix-huit ans.
Le narrateur raconte ensuite que le père de Thérèse, lorsqu’elle avait deux ans, la donna à sa tante car sa mère était morte. Il mourut plus tard pendant la guerre. Thérèse eut une vie forcée de convalescente, elle prit alors l’habitude de parler à voie basse, de rester muette et immobile.
Lorsqu’elle déménagea dans la maison au bord de la Seine, elle devint plus vivante, plus heureuse mais garda son masque de froideur et d’indifférence.
Mme Raquin voulait marier son fils et sa nièce ensemble, ceux-ci y étaient résolus. Si bien que le soir du mariage, Thérèse changea d’habitude : elle alla dormir dans la chambre de son époux.
Chapitre 3 :
Un jour, Camille décida d’aller vivre à Paris, sa mère s’inquiéta et pris donc tout en main, elle alla à Paris chercher une boutique et un appartement, elle trouva alors l’endroit idéal pour elle : dans une petite ruelle tranquille, où elle installerait une mercerie. Quand Thérèse entra dans la boutique pour la première fois, elle se senti piégée, comme dans une fosse. Camille consentis à rester dans ce taudis car il ne pensait qu’à trouver un travail dans une administration.
Chapitre 4 :
Un jour sur sept, le jeudi, la famille recevait des invités, c’était toute une histoire. Mme Raquin