Résumé de l'aveugle de Guy de Maupassant
Qui pis est, sa famille organise pour les voisins des petits spectacles où on lui fait manger des bouchons, du bois, des détritus. Voyant qu’il ne réagit pas, on l’oblige à mendier, on le frappe tous les jours, tout le monde a le droit de le frapper. Finalement, son beau-frère l’emmène par un jour de grand froid faire l’aumône, loin de la ferme, et l’abandonne. Il ne rentre pas, se perd dans les talus.
On retrouvera son cadavre à moitié dévoré à la fin de l’hiver. Les oiseaux lui ont dévoré les yeux. L'Aveugle est initialement publiée dans la revue Le Gaulois du 31 mars 1882, puis dans le recueil posthume Le Père Milon en 1899[1].
Ce qui montre l'injustice , la nature des Hommes à commettre de tels actes de cruauté . Il le persécute pour le plaisir de le voir souffrir .
La nature humaine est odieuse et c'est ce que veut montrer Maupassant .
La fin montre que les hommes sont plus cruel que des corbaux , car manger ses yeux n'est pas si cruel que le fait de lui faire subir les coups , les injures .
La mise en place d’un déclin inévitable se montre de différentes manières. On remarque tout d’abord la présence prononcée des maltraitances physiques. En effet, cela se voit par la progression bien marquée des étapes par l’utilisation de liens logiques comme « puis » et « enfin » et de compléments circonstanciels de temps tels que « dès », « sitôt » et « pendant quelques années ».
[...] Par sa nouvelle, MAUPASSANT critique la société. Si bien qu’il montre un vrai refus ou même une vraie peur de la différence car les gens exilent, le considère comme un paria parce qu’il est aveugle. On le voit par l’utilisation d’une énumération à trois temps croissante