2004 GENETIQUEMENT INCORRECTE :
L’humanité est encore loin, en notre début de siècle, d’une utilisation intelligente des gènes. P.21
Stress génétique risque de naître des maladies que nous n’aurons pas mais qui auraient théoriquement de bonnes chances de survenir. La détections précoce offrira ainsi une possibilité de prévention mais créera aussi une nouvelle forme de préjudice. p.21
L’objectif central de cet ouvrage, qui s’attache à décrire les avancées scientifiques, est de nous permettre de rester lucides sur les enjeux liés é ce savoir et aux non-dits. Car une révolution sourde est à l’œuvre : les mutations majeures que nous venons de décrire auront certes des conséquences techniques et scientifiques, mais elles opéreront aussi des changements socioculturels et économiques profonds, et remettront en question le fondement même de nos valeurs. P.22
Différent facteurs semblent réunis, à différents niveaux, pour provoquer ne nouvelle évolution fondamentale de l’espèce humaine. p .23
Biologie moléculaire : étudie la vie, et dans ses fondations les plus intimes, les molécules. P.39
L’ADN est un composé acide dans le noyau de la cellule avec des désoxyriboses (sucres) d’où son nom d’acide désoxyribonucléique. Le patrimoine génétique est essentiellement composé de quatre bases : A, C, T, G. qui se suivent et se répète dans un ordre particulier pour chaque espèce (barreaux de l’échelle torsadée), la rampe qui les tient ensemble est constituée de sucres, d’oxygène et de phosphore. P.41
L’ADN peut équivaloir à une information utilisable par la cellule, que le scientifique s’appliquera à décoder. P.45 La molécule d’ADN d’un être vivant porte entre autres choses, on le sait, la séquence de ses gènes. Elle est très volumineuse beaucoup plus que la molécule d’eau qui n’a que trois atomes, elle est de taille variable selon les espèces, elle s’allongerait jusqu’à 2 mètres si l’on parvenait à la débobiner de chaque cellule humaine avec une microscopique pince à épiler,