Résumé chapitre 1
p.8
Sophie et la ligue des jeunes filles allemandes
Maman est en colère. Elle se tient devant la porte de la maison et appelle fort.
“Sophie ! Vient manger !”
Où est encore passée Sophie ?
”Maman !”
D’où ça vient ? Sur l’arbre.
“Sophie !”
Deux minutes plus tard Sophie se tient devant elle.
“Ça ne va plus ! Tu n’es pas un garçon, Sophie ! Les gens parlent déjà. Toujours avec les jeunes ! Et ta coiffure !”
Sophie porte les cheveux comme un garçon. Devant longs et derrière courts. …afficher plus de contenu…
ça ne marche pas, c'est trop dangereux”
“Tu penses : les femmes ne devraient penser qu'à la cuisine, n'est-ce pas ? Seuls les hommes font la guerre ! Est-ce que tu veut dire ça ?” Elle devient un peu bruyante maintenant. “Nous sommes tous en guerre Hans !”
p.50
Ce soir là elle va à l’appartement où Hans retrouve ses amis. Christoph et Alexander sont aussi là.
“J’ai pensé ainsi, que tu souhaite nous rejoindre”, dit Alexander et rit.
“Il n’a pas de quoi rire!” Hans est nerveux.”c’est dangereux, je...”
“Avez vous réellement un nom pour le groupe ?” demande Sophie.
“Ça doit être quelque chose de beau !” dit Christoph. “quelque chose comme...”
“Roses rouges, lèvres rouges, vin rouge?” demande Alexander.
“Ach ! Laisse …afficher plus de contenu…
“Contrôler une fille n’est pas correct, ce sont des déserteurs qu’ils cherchent !”
Le jour d’après elle est assise dans le train. Elle a posé son sac sur une autre place. Où personne ne le voit, le train est très rempli. La police continue de venir, parfois en civil. “Qui êtes vous ?” demande ils et “Où voulez vous aller ?” et “Que faites vous là ?” Mais la Police ne voit pas le sac.
p.62
À Hamburg Sophie rencontre Heinz, un grand, blond du nord de l’allemagne. Elle doit toujours rire, quand il parle. Elle trouve son accent très drôle. Mais dans ce qu’il dit il n’y a rien de drôle. Il veut avec des amis multiplier les tracts. Une rose blanche Hambourgeoise ! Sophie est contente du voyage de retour. Et Alexander et Hans sont aussi heureux. Ils ont été dans beaucoup de villes.
“Nous sommes toujours plus