Fred Vargas: Coule la Seine. Nouvelles policières. Reclam Stuttgart 2008.

Fred Vargas -> Frédérique Audoin-Rouzeau
Coule la Seine -> Extrait du poême „Le pont Mirabeau“ de Guillaume Apollinaire (1912): Sous le pont Mirabeau / Coule la Seine / Et nos amours / Faut-il quʻil mʻen souvienne.“

Résumés des Nouvelles
1. Salut et liberté Vasco, vieux tailleur sans argent, sʻinstalle sur un banc devant le commissariat. En même temps, la police reçoit des lettre anonymes, signées par „Salut et liberté, X.“ X se vante dʻavoir tué sans que personne ne lʻait remarqué. Le commissaire Adamsberg pense quʻil y a une connexion entre les lettres et Vasco (le policier Danglard nʻy croit pas) et interroge le vieux (dehors, dans un restaurant). Vasco ne dit rien, mais à lʻaube, il va chez le commissaire (à la maison) et dit quʻil est payé par quelquʻun pour sʻasseoir devant le commissariat. Dès lors, Vasco cesse de sʻasseoir devant le commissariat. Une nouvelle lettre mentionne une femme de la gare de lʻEst.
En fait, il y avait une femme (Colette Verny) qui est tombée sur les voies trois mois auparavant.
Adamsberg va chez Vasco pour lui parler et fouiller son appartement. Il trouve des ciseaux, du papier, des journaux et de la colle cachés sous une latte du plancher. Vasco dit quʻil ne ferme jamais son appartement. Adamsberg interroge Vasco de nouveau, il est convaincu que Vasco lui avait menti la dernière fois. Vasco avoue dʻavoir vu lʻhomme qui le paie et il le décrit en détail.
La police lance la recherche, mais ils nʻarrivent pas à trouver lʻhomme inconnu.
Adamsberg et Danglard entrent chez Vasco. Adamsberg lui dit ce qui sʻest passé: Cʻest Vasco qui a écrit les lettres pour protéger son frère cadet car il pense que celui-ci avait tué Colette quand il était ivre. Mais en fait cʻétait un amant de Colette, la police du 10e arrondissement lʻa arrêté.
Sans les lettre de Vasco, la police aurait classé le mort de Colette comme accident.