Révision
♦ Psychologique : Le sujet est celui qui peut se soumettre à lui même des questions. Le sujet se prend lui même pour sujet de réflexion « je pense donc je suis ». Il est le sujet de sa propre réflexion. Le sujet est une pensée capable de se penser plus tout ce qui permet d'avoir cette pensée. René Descartes est un sujet pensant. Freud parle de sujet, il entend le corps en même temps que l'esprit. On a le problème de l'unité du sujet.
♦ Métaphysique de l'esprit : D'après Descartes, il est double le corps d'un côté et l'esprit de l'autre. Mais pour les philosophes d'aujourd'hui, le sujet n'est qu'un. Le sujet s'aperçoit comme deux, quand il pense à lui il ne voit pas de corps et quand il pense au voisin, il voit un corps.
Exemple : C'est un peu comme le soleil, nous savons aujourd'hui qu'il y a une course apparente du soleil or ce n'est pas lui qui tourne mais la Terre. On peut aussi prendre l'exemple de la femme objet, elle regimbe sur le fait qu'on la prend que pour un corps et non un esprit.
→ Ça à pour conséquence la lutte des consciences analysé par Hegel dans « Phénoménologie de l'esprit ». Chaque conscience veut faire autrui un esclave car elle voit l'autre comme un corps. Chacun se pense comme au dessus des autres, comme le centre du monde.
• Freud a étudié les influences du corps et de l'esprit en supposant un inconscient sexuelle. Cette idée d'influence est très vieille. L'esprit agit sur le corps quand il le veut (ex: « Je lève le bras ») et l'es^rit agit sur le corps sans le vouloir (ex : « je me présente à une épreuve et j'ai mal au ventre »).
→ Selon Descartes on explique ça par une mécanique corporelle avec la liaison avec l'esprit. C'est le domaine de la passion. Il y a une réaction. La passion est un domaine d'action réciproque.
→ Selon Freud, il y a une pensée derrière tout ça, mais une pensée qui n'est pas conscient. C'est l'inconscient sexuelle. Il y a une sorte de logique infantiles. Ce qui n'est pas étonnant car ça