Les indicateurs de richesses sont divers et peuvent se mesurer par habitant ou bien à l’échelle du pays cependant ils sont contestables. Certains pays possèdent de fortes richesse nationales mais dont la population est confronté a des conditions de vie très modeste. Afin de mettre en place un indicateur de richesse plus précis prenant compte la population et la situation économique de manière globale les pouvoirs publics américains ont demandé en 2008 à l’économiste Joseph Stiglitz de présider une commission ayant pour but de proposer des indicateurs plus justes.

Le rôle économique et sociale du PIB
Actuellement, le PIB permet une vision globale de l’économie pour une période donnée généralement un an. Le produit intérieur brut englobe l’ensemble des productions marchandes par le prix d’achats mais également les services produit par les administrations en calculant leur cout. Le PIB nous montre la capacité des individus a consommer et permet également en le comparant d’une année sur l’autre d’avoir une vision sur la croissance d’un pays. Il permet également de comparé les pays entre eux sur de mêmes critères, la présence d’une monnaie unique dans la zone euro permet une vision clair de la situation de chaque pays. Le PIB est un outil pour l’étude d’une économie nationale. Cependant, ce n’est pas un outil parfait car il ne prend pas en compte tout les critères nécessaire a la « bonne santé » d’un pays et de sa population. Il exclu tout notion écologique et sociale, il ne met en relief que les choses a valeurs financières. D’autres critères sont présent pour palier a ce manque tel que l’indice de développement humain mais reste moins utilisés que l’IDH pour qualifier la situation d’un pays, ainsi on peut voir des pays avec des PIB très élevés et des IDH faibles, comme on peut le voir dans les pays pétroliers. Une minorité détiens et consomme la majorité de l’argent du pays et ont accès a divers infrastructures telle que médicale ou scolaire et la majorité est