Recourir au langage, est-ce renoncer à la violence?
Tout d’abord, de nombreux faits de la vie ont montré que le langage ne peut résoudre tous les problèmes. Il peut être considéré comme un élément pacificateur mais peut aussi avoir un rôle inverse en étant un élément perturbateur qui peut engendrer une réaction de violence. Dans le sport, plus précisément dans le club de foot du Standard de Liège, le président tant détesté par les supporters à provoquer par sa communication, une répression d’un grand nombre de supporters. Cela s’est traduit pas des manifestions violentes, des chants haineux, des arrêts de matches avec jets de projectiles, des tentatives d’agression au domicile du président en question. Dans ce cas, la méthode de communication de ce président n’a pas apaisé les supporters mais à plutôt eu un rôle d’élément déclencheur de la violence. La violence est partout, même dans le sport. Ainsi, lors de certains matches de niveau amateur, des arbitres qui exerçaient leur boulot de la meilleure manière, ce sont fait agressé par des supporters, voire même par l’entraineur de l’équipe mise en doute par une faute de jeu. L’arbitre ne peut malheureusement plus se justifier par la communication qu’il se fait directement sauter dessus et rouer de coups. Ces cas de violence dans le football sont de plus en plus présents aujourd’hui malheureusement. Un fait a retenu toute l’attention ces derniers mois, un juge de ligne néerlandais a été battu à mort par des joueurs de 15 à 16ans.