Redaction de Francais 5eme
350 mots
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J'étais dans la voiture avec mon père pour aller faire du camping avec des amis. Cela se situait dans la campagne brésilienne, au milieu des falaises luxuriantes.Dehors il y avait des bananes sauvages et des fleurs partout de couleurs très vives. J'avais cinq ans à ce moment là, mais j’étais très mature. Quand on est arrivé à l'endroit ou on allait faire du camping, il y avait des poulets sauvages qui couraient partout, des bananiers sauvages avec des petits singes bruyants mais invisibles, des vaches maigres comme des clous qui étaient dans une clôture, ainsi que mes amis, déjà arrivés. Je ne voyais pas qui étaient là d’où nous étions garés, et je ne savais pas non plus qui allait être là.
Quand je suis sorti de la voiture j'ai vu Javan, mon meilleur ami, son frère et son père, et d'autres gens que je ne connaissais pas. Après que j'ai dit bonjour à tout le monde j'ai pris mes bagages et j'ai commencé de monter la tente avec mon père. Quand j'ai fini je suis aller jouer avec mon meilleur copain, puis nous avions diner autour d'un feu de camp. Je me suis endormi près du feu , au son d'une guitare brésilienne, de Carlos, notre ami brésilien. Quand je me suis levé j'ai mangé un petit-déjeuner brésilien et puis je suis aller jouer avec mon ami au bord de la rivière. Quelques minutes plus tard mon père nous a demandé d'aller chercher de l'eau à cent mètres passant par un chemin pour contourner la clôture de vaches. Au retour nous nous étions dis que c'était plus court de couper par la clôture. Quand nous marchions avec les seaux d'eau un taureau nous regarda d'un air étrange, bizarre, puis commença a marcher vers nous. Nous sommes alors parti en courant avec les seaux d'eau puis à dix mètres de sortir de la clôture, le taureau nous a chargé. Quand nous sommes sortis de la clôture nous avions donné un gros câlin à nos pères, puis ils nous ont crié dessus, pour le gros risque que nous avions