Les aiguilles du temps

Il est 15h et cela fait maintenant deux heures que je suis à table pour le repas de famille quotidien. M’ennuyant, je commence à débarrassé la table. Et là, on sonne à la porte. Je ne m’en préoccupe pas et je fini de faire ce que j’ai commencé. C’est une femme que je n’avais jamais vue auparavant. Je ne l’as connais pas mais elle arrive en m’offrant une montre. Je ne comprends pas vraiment pourquoi elle m’offre un cadeau, mais j’apprends que cette femme est ma tante. Voilà pourquoi. Puis en continuant l’après-midi, je commence à mieux la connaitre.
Le soir, je monte dans ma chambre et je prends la montre que j’ai eue dans l’après-midi, pour la mettre sur mon étagère. Mais avant de pouvoir la posé, elle me glisse des mains. Puis les aiguilles s’échangent de place et je sens une drôle de sensation au fond de moi. J’essaye donc de les remettre à leur place mais cela m’est impossible, comme si elles se sont collées. Ne comprenant pas pourquoi et étant fatiguées, je décide d’aller me coucher.
Le lendemain, je vois afficher sur mon réveil « 9h50 ». Je bondis d’un seul coup hors de mon lit, je m’habille aussi vite que je ne me suis jamais habillé et je descends les marches quatre à quatre. Je me dis ce n’est plus une heure que j’aurai de retard à l’école, mais bien deux. Pourquoi je n’ai pas mis mon réveil ? En quinze ans, c’est la première fois que ça m’arrive. J’ai horreur d’arriver en retard. Ma mère me voyant arrivé comme une fusée me demande «pourquoi es-tu aussi presser Simon ? », « je suis en retard maman ! En retard pour l’école. », « Pourquoi aurais-tu école le dimanche » me demanda-t-elle. Je m’assois sur une chaise et je me demande mais hier, on était déjà dimanche, que ce passe-t-il ? Je regarde alors sur mon ordinateur et nous sommes bien dimanche, sur mon téléphone, dimanche est encore afficher, le journal que mon père est en train de lire est daté de dimanche, je regarde la télé, la chaine des informations nous annonce encore