Regain, gono, 30 ans 1930
Description brève et précise : la construction des maisons d’une manière simple et débutante avec tentative de stabilisation par l'érection d'un clocher, créant une image de précarité et d'équilibre fragile.· Pas tout : il y a une maison qui s'est comme décollée, qui a coulé du haut en bas, toute seule, qui est venue s'arrêter, Réitération de propositions avec des verbes conjugués au passé composé d’actions brèves et simultanées : faits qui laissent penser à l’habitude + oxymore de tout s’accroche et pas tout → ces habitants sont habitués au déséquilibre et à la rupture ce n’est pas nouveau · les quatre fers d'aplomb, au bord du ruisseau, à la fourche du ruisseau et de ce qu'ils appelaient la route, là, contre un …afficher plus de contenu…
Comparaison : La lèvre de Panturle est comparée à un poivron rouge, évoquant sa singularité physique et donnant une touche de couleur vive à la description → toujours un élément en rapport avec la nature· Il envoie la main lentement sur toutes les choses qu'il veut prendre, généralement ça ne bouge pas ou ça ne bouge plus. On regarde la scène de l’oeuil de A → il se remémore son village à travers les mouvements de Panturle qu’il s’imagine = tout est en ruine tout n’est plus là plus rien à prendre · C'est du fruit, de l'herbe ou de la bête morte ; il a le temps.Énumération : ce qu’il nous reste n’est pas rien même si l’adjectif morte vient effacer la possibilité de revie → juxtaposition qui contre cette pensée avec l’idée du temps → le temps pourrait tout arranger s’il est bien exploitéCette phrase met en évidence la nature paisible et patiente