Partie A
Question 1 :
Tout d’abord la clé de succès pour une conférence de presse réussie est sans aucun doute la préparation. Le porte-parole choisi doit connaître le sujet et être en contrôle de ses moyens. Lors de la période de questions, il se peut que les journalistes posent des questions dont le porte-parole désigné ne connait pas la réponse. Il doit avouer ne pas connaître la réponse, ainsi il ne n’improvisera pas de réponses qui pourront éventuellement se retourner contre l’organisation. De plus, il doit être accordé une réelle écoute et être attentif. Le porte-parole doit rester calme, contrôler ses émotions, se concentrer sur l’information à livrer, développer une gestuelle sans emphase, garder un contact visuel avec l’auditoire, éviter les mots parasites ( eh bien, ben, euh…) et garder une posture démontrant son assurance.

Question 2 :
Avant la rédaction de l’allocution, il est primordial qu’une recherche rigoureuse ait été faite. Ainsi, le relationniste aura toutes les ressources et les informations nécessaires pour assurer une bonne communication entre l’organisation et les individus ciblés. Cette recherche aidera à rédiger un texte composé des toutes dernières informations nouvelles et actuelles qui assureront la crédibilité de l’organisation et du porte-parole désigné.

Question 3 : a) Premièrement, l’information divulguée lors de la conférence de presse était en lien avec l’agroalimentaire. De plus, cette conférence annonçait le lancement d’une nouvelle gamme de produits. C’est deux éléments font en sorte que les médias de grand public se sentent moins interpellés. Les médias québécois ne voyaient surement pas la nécessité à être présent étant donné que la nouvelle n’était pas aussi importante qu’une acquisition/fusion d’entreprise peut l’être. Le relationniste aurait dû rentrer en contact quelques jours, avant la conférence de presse, avec les journalistes n’ayant pas répondu à l’invitation. Il se peut que plusieurs journalistes aillent