Relations huamines
Une bonne partie de ce que l’on entend par théorie classique est partie de l’observation des caractéristiques des organisations industrielles et politiques qui se sont développées pendant les dernières décennies du 19èmè siècle .leur étendue et leur haut niveau de spécialisation apportaient aux administrateurs et à la sociologie, discipline naissante, un encouragement qui suscité de nouvelles réponses à de nouveaux problèmes. En sociologie, cette période est remarquable dans l’étude des traits essentiels des organisations et de leur relation à la société. La typologie de Weber, avec ses structures traditionnelle, charismatique et rationnelle légale en est un exemple .weber s’est avancé a considérer ce type d’organisation comme le plus « efficient ».mais Weber ne prévoyait pas de quelles manières sa « bureaucratie » pourrait être inappropriée aux problèmes des administrateurs face a une technologie évoluant vite. Cependant, le type idéal de Weber a surtout été critiqué par les psychologues à cause de son incapacité supposée à prendre en considération les « besoins humains ». Ces « besoins » sont exprimés dans les structures informelles du comportement et qui on été systématiquement étudiées par les chercheurs de Hawthorne qui vont représenter par la suite le point de départ de toute une pensée et une école baptisée l’école des relation humaines. Dans ce travail on va essayer, dans un premier lieu, de présenter les principaux apports de l’école des relations humaines, puis nous allons passer à la théorie de cercles vicieux de la bureaucratie, dont les auteurs ont utilisé la même vision que le courant humaniste en analysant le dysfonctionnement de l’organisation bureaucratique en termes de « relations humaines »
Chapitre I : Le contexte d’apparition de l’Ecole des Relations Humaines
L’école des relations humaines s’est apparue principalement dans les années 30 et 40 aux Etats-Unis[1], où la crise économique de 1929 a joué un