Renault nissan
1. La stratégie de développement de Renault est-elle pertinente ?
Comme le montre les tendances, le marché de l’automobile est devenu de plus en plus concurrentiel. La marge opérationnelle des constructeurs a nettement diminuée. Le montant de la R&D de nouveaux modèles devient plus important. Le marché de l’Europe de l’Ouest est saturé.
La situation financière devient préoccupante.
Les différentes possibilités s’offrant à Renault sont : le Mercosur, l’Asie ou l’Europe de l’Est. C’est zones géographiques ont des perspectives de croissance considérables.
Les analystes de l’époque fixent à 4 millions de véhicule par an la production nécessaire pour être compétitif. Renault n’a d’autre choix que de s’internationaliser afin de se rapprocher de ses futurs clients.
Or, pour agir dans un marché mondial, il est préférable de construire un groupe international.
2. Le choix de Renault de recourir à une alliance est il fondé ? Identifiez et évaluez les autres options envisageables.
Avant l’alliance, les usines Renault disposaient de capacités de production trop importantes. De plus, le développement de Renault impliquerait de construire de nouvelles usines, ce qui serait un investissement très couteux.
Les bénéfices de l’alliance :
• De nombreuses pièces peuvent être communes si bien que gagnant en part de marché, la puissance d’achat devient considérable vis-à-vis des fournisseurs.
L’industrie automobile est sensible aux économies d’échelle, c’est pourquoi, avoir un partenariat pour les achats est un facteur essentiel à la réduction des coûts.
• De plus, l’alliance permet de développer au maximum les synergies industrielles, logistiques et technologiques.
Les autres options envisageables sont :
• Une alliance en Europe Centrale. D’autant plus que Renault disposait déjà d’usines en Roumanie, Russie, et Slovénie.
L’avantage est que cette solution limite les coûts liés à la distance géographique. De plus, les