Le réalisme
Le réalisme apparait en 1850 après la révolution de 1848. Ce mouvement représente la réalité par la peinture ou la littérature. La littérature réaliste décrit la vie quotidienne avec ses banalités et ses rites. Dans leurs romans les auteurs de ce mouvement s’intéressent de très près à la science, à la misère des gens du peuple, aux pouvoirs de l’argent… ce qui ne manque pas de faire scandale comme dans Mme de Bovary où Flaubert n’hésite pas à montrer la réalité tel qu’elle est en donnant à l’héroïne un amant. Les auteurs réalistes, dans leur roman, décrivent les richesses du monde en ajoutant de nombreux détails et descriptions. La littérature réaliste intègre l’histoire des personnages dans le cours général de l’Histoire.
Auteurs de ce mouvement : E. Zola, G. de Maupassant, G. Flaubert, H. de Balzac, Stendhal…
Romans de ce mouvement : Germinal de Zola, Mme de Bovary de Flaubert, Les Rougon-Macquart de Zola, La comédie humaine de Balzac…
Le naturalisme
Le naturalisme est en quelque sorte l’héritier du réalisme. Ce mot fut utilisé pour la première fois par Zola en 1868. Les sujets auquel les auteurs naturalistes s’intéressent sont principalement la science et comme le réalisme la vie du peuple. Tel que les progrès de la science le second empire a beaucoup influencé ce mouvementLe naturaliste est utilisé aussi bien en littérature qu’en théâtre (Thérèse Raquin de Zola). Le théatre naturaliste veut représenter des « tranches de vies », dans le décor le plus réaliste possible. Mais le public se lassera vite de ce théâtre naturaliste, c’est pourquoi il reste méconnu. Le naturalisme alla plus loin que le réalisme.
Auteurs de ce mouvement : Zola, les frères Goncourt, Huysmans, Maupassant, Daudet, Vallès…
Romans de ce mouvement : Germinal et L’Assomoir de Zola, Germinie Lacerteux des frères