reportage
Bon, ça fait aujourd’hui un an que je m’étais fait frapper par un conducteur ivre. Le conducteur, qui était en dessous de l’influence de l’alcool, était 3 fois au-dessus du montant d’alcool légal pour conduire. Après m’être fait précipiter à l’hôpital, je ne me souviens pas de rien d’autre, je suis tombé dans un coma pour 2 semaines de temps. Je ne savais pas qui j’étais. Je me suis dit que j’avais besoin de trouvé mon identité, je le savais tout de suite que ce n’était pas pour d’être facile. Ma mère, en pleurant, continuait à me dire que mon nom était Gilles Lajoie.
Mes parents étaient très inquiets, ils ne pensaient pas que j’allais le faire. J’ai eu quelques blessures de surplus, je me suis cassé mon poignet droit et le fémur sur ma jambe gauche. Il avait beaucoup de problèmes avec mon système respiratoire. Je ressemblais à une poupée qui vient de passer sous une tondeuse à gazon. La plus grosse peur à mes parents était de me perde pendant que j’étais dans un coma. Aussitôt que me suis réveillé du coma, on me semblait c’était un miracle, les docteurs ne pensaient pas que j’étais pour le faire. Par contre, quand je me suis réveillé, je ne savais pas qui j’étais ou pourquoi que j’étais couché dans un lit à l’hôpital avec une caste autour de mon poignet et ma jambe qui pend sur une élingue qui est accrochée 1 pied de haut du lit. Je ne savais pas qui étaient mes parents, mon nom, je ne me souviens d’absolument rien.
Après une couple de semaines d’évaluation sur mes blessures, je me suis finalement fait libérer de l’hôpital pour aller à la maison. Je ne me rappelais pas où que je demeurasse. Les docteurs m’ont avisé que je n’ai pas seulement juste eu un coma, j’ai eu un des types de coma les plus dangereux qui s’appelle un coma toxique-encéphalopathie métabolique. Ce type de coma ici peu d’être causé par des drogues, blessure au cerveau, perte de sang ou se noyer. Dans mon cas, c’est une blessure au