, le conducteur avait des difficultés pour fermer la porte avant. Il demanda que plus personne ne monte mais on ne lui obéi pas et on poussé vers l’intérieur. L'un resta coincé et sa main a l’extérieur. Le conducteur regarda dans le miroir au-dessus de lui
Et se plaignait de la chaleur qui frappé le pays et du comportement étrange des résidents.

Lorsque la main fut libéré, la porte fermé, et le autobus se déplacer (bouger de son endroit), la femme se trouvant derrière le conducteur se rappela qu’elle avait oublié de descendre

Elle trouva une ouverture dans la séparation, introduit son doigt et commença à frapper le dos du conducteur lorsqu’ ‘elle dit : un moment ! un moment !

Le conducteur arrêta l’autobus mais la femme ne se calma pas. Elle était effrayée par l’idée de devoir marcher si ce n’est continuer à voyager encore un arrêt ; elle cria :

Regardez mon pied ! Et elle ramassa sa canne. En raison de la surpopulation ils ne virent son pied courbé (tordu) .la canne était fine, d’un bois sec, et constituée de nœuds qui se superposaient (escalade) jusqu'à la poigné courbée. L’accès à la porte avant était bloquée, ainsi elle commença a pousser vers la porte arrière.
Oh malheur a moi, dit-elle. Elle avait toujours peur que peut être soudainement le conducteur regrette et qu’il ne démarre avant qu’elle est le temps de descendre.
Le conducteur de son coté , l’a pressée en criant ( appelant ) « madame » , et quelques passagers s’associerent a lui en criant de leur coté « madame » . lentement , lentement , apres que tout l’autobus soit apres elle , la femme s’approcha de la fin de l’allée et vit la porte arriere , qui s’ouvrit devant elle largement . elle vit la porte , et remarqua a ce moment l’homme qui l’aida à passer le panier
« chelomo ………… »
Au lieu de descendre de l’autobus , elle demnda maintenant a l’homme ou etait il cacher depuis 30ans
Elle ne savait pas du tout , qu’il vivait et se trouvé ici en israel , a jeursalem