Ressenti du soignant
Cette patiente est âgée de 84 ans, elle est rentrée pour une altération de l’état général entrainé par une myélodisplasie qui a évolué en leucémie. Elle a comme antécédent une hypertension artérielle traitée par un antihypertenseur, et un syndrome dépressif survenue à la suite du décès de son marie. Elle a comme thérapeutique ce jour un antibiotique, un anxiolytique, un antidépresseur et une chimiothérapie en sou cutané (vidaza) qui a pris fin il y a 9 jours. La patiente n’est pas au courant du diagnostic de sa maladie, car son fils, qui est la personne de confiance et qui est présent quotidiennement n’a pas souhaité que l’on informe sa mère au vu de son syndrome dépressif. De plus lors de l’injection de la chimiothérapie la patiente ma demander ce que je lui injecter ce qui ma déstabiliser car je ne savais pas quoi lui répondre et donc je ne lui est rien répondue à ce moment-là j’ai ressenti de la gêne par rapport à la patiente car je ne pouvais pas lui apporté de réponse a sont questionnement.
ANALYSE :
D’un point de vue législatif d’après la loi du 4 mars 2002 toute personne doit être informer de son état de santé, mais l’annonce du diagnostic doit être faite par un médecin et je ne pense pas que cette annonce devais être faite par moi à ce moment la maintenant je pense que j’aurais pu réagir autrement que comme je les fais et posé des question a la patiente sur ce qu’elle savait et ne savais pas mais ceci aurait impliqué de me mettre dans une position difficile car la patiente m’aurais posé des question auxquelles je n’aurais peut-être pas de réponse claire a lui donné ce qui m’aurait gêné car je pense que à ce moment-là je n’étais pas apte à faire cela. Si cette situation devais se représenter à moi je pense que j’essayerais de savoir ce que sais la patiente et j’utiliserai les méthode d’entretien pour discuter avec elle comme la reformulation comme sa