Alors que l’on pensait à une belle avancée de la reprise du marché de l’immobilier en 2013, on s’aperçoit qu’il n’en est rien. Le constat est là baisse de 19% à Paris et dans l’intramuros sans oublier 25% en banlieue. En effet on constate que les transactions ne cessent de baisser -20% alors que les prix de l’immobilier reste trop élevés.

Les causes actuelles de la crise immobilière Le secteur de la construction devrait tomber au plus bas en 2013. Depuis 50 ans le BTP a une perte de 40 000 emplois cette année, le secteur de l’immobilier est fortement touché, il est un domaine fondamental pour l’emploi comme ; le pouvoir d’achat, pour l’aménagement du territoire pour la mobilité lorsqu’on perd son travail et dernière avantage il ne fait appel qu’à très peu d’importation. Tout gouvernement qui veut relancer la croissance doit être efficace et accélérer la politique du logement. Sachant que la France dépense des milliards d’euros sous forme d’aide fiscale et d’allocation, le logement est 2 fois plus aidé que dans les autres pays et pourtant tout s’arrête en concluant que l’état a tout bloqué.
Il suffit de voir la situation clairement. Les prix de l’immobilier sont trop élevés, on assiste à une décadence du marché depuis plusieurs années et seulement très peu d’amélioration d’un maintien des prix élevés. Les vendeurs ont pris conscience de la gravité de la situation. Fini les années folles ! Sans compter que le gouvernement ne cesse de mettre des freins dans l’acquisition d’un bien ancien et que les banques persistent de manière durable leur condition d’octroi sans oublier des nouvelles règles s'imposent telles que la nécessité de disposer d'un apport de 30% du montant de l'achat.

Le gouvernement n agit pas comme il le devrait le faire les chiffres sont là pour le prouver 280 000 mises en chantier cette année selon le groupe Natixi c’est le niveau le plus bas depuis 50 ans. Les programmes des HLM pour des raisons fiscales sont à l’arrêt. Cette crise