Rhénane exposé
Tout d’abord « Rhénanes » est constitués de 9 poèmes : Nuit Rhénane, Mai, la Synagogue, Les cloches, La loreley, Schindrhannes, Rhénane d’automne, les Sapins, les Femmes. I. Un champ lexical ivre, amoureux et rhénan. a. Un champ lexical ivre b. Un champ lexical amoureux c. Un champ lexical rhénan
Le poème nuit Rhénane est parcouru par des mots qui renvoient à l’ivresse comme « mon verre » et « vin trembleur» v.1, il se décrit lui-même comme « ivre » de voir « des vignes ». On fait face à un poète déçu et égaré qui se réfugie dans (l’) «Alcool(s)» (titre du recueil) pour oublier sa peine, son désarroi et sa damnation. Curieusement, ce verre, plein de vin, annonce, au même temps, le début et la fin de ce poème : ce verre trembleur renferme une énergie autodestructrice qui le fait éclater à la fin. Ce dernier est « oppresser » par d’un côté l’alcool et de l’autre les femmes de sa vie, les femmes qu’il compare à des déesses mythologiques mauvaises comme on le voie dans la Loreley au v.1 (p.99).Cette énergie qui module l’action finale semble être la même qui rode au profond du poète en tant que « flamme », cette même flamme, qui à l’image du poète, est détachée du reste du monde : elle se consomme, se consume et s’épuise. Il parle aussi des « fées » (V. 12) mais on sait que l'absinthe est un ensemble de spiritueux à base de plantes d'absinthe, également appelé « fée verte ». Donc parle-t-il de l’alcool ou du fantastique ? Tout cet épuisement est entre autre dû au détachement du poète (d’où la