Richard Branson
Richard Branson
Si vous savez bien gérer un business, vous pouvez bien gérer tous les autres.
Richard Branson, l’homme qui croit en lui
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=> On connaît ses succès, on a tendance à oublier qu’il a aussi accumulé les échecs. Mais aucun d’eux ne l’a empêché d’entreprendre à nouveau. Et de réussir encore.
Avant tout, l’obsession de se faire plaisir en travaillant
Celui qui dut passer pour un doux illuminé est aujourd’hui à la tête d’un empire comprenant précisément une agence de voyages, des magasins de disques, des clubs de sport, une compagnie aérienne. Et 300 autres business réunis sous l’enseigne Virgin. «Des années plus tard, écrit encore le milliardaire britannique, j’ai reçu une lettre des gens d’IPC qui me faisaient part […] de leurs regrets de ne pas avoir compris [mes] ambitions.» Ses «ambitions» ? Davantage que l’aiguillon de la réussite à tout prix, c’est l’obsession de se faire plaisir en travaillant qui anime le fondateur de Virgin. Et la conviction que tout ce qu’il entreprendra sera nécessairement couronné de succès.
Un goût du risque doublé d’une grande sérénité
=> Engagé dans l'écologie
Loin d’en rester au stade des déclarations d’intention, il décide de consacrer 100% des profits de ses compagnies de transport à la recherche sur les biocarburants. Soit la somme rondelette de 2,2 milliards d’euros. Parallèlement, il crée le Virgin Earth Challenge, un concours de bonne idées pour réduire les gaz à effet de serre doté d’un prix de 18 millions d’euros. Enfin, il s’empresse de s’appliquer à lui-même ces belles idées en faisant de sa propriété de Necker Island, dans les Caraïbes, une vitrine des énergies propres (éoliennes, protection des espèces menacées,