Richesses et mérites
La richesse d'un pays est mesurée par le P.I.B. (Produit Intérieur Brut) qui est la somme des biens et services produits chaque année. La richesse peut aussi être la fortune, l'opulence, l'abondance de biens.
Le mérite quand à lui est ce qui rend quelque chose digne d'estime.
Le travail est au centre des notions de richesses et mérite.
En effet, il permet de créer de la richesse.
Il peut aussi permettre à des personnes méritante de réaliser une ascension sociale, c'est-à-dire qu'une personne peut monter dans l'échelle sociale grâce à son travail.
On peut alors se demander si le travail est à l'origine d'une ascension sociale ?
Nous allons voir dans un premier la valeur du travail selon certain modèle économique. Puis, nous allons voir les différents facteurs de l'ascention sociale, enfin, nous allons terminer sur les limites de cette acsention sociale.
I- Le travail
a- valeur selon le communisme Le communisme est un mouvement politique ou économiques populaires dans lequel les moyens de productions appartiennent à l'Etat. Ce mouvement a une valeur différente par rapport au libéralisme. Prenons le cas de l'URSS de Staline, la classe populaire était très importante.
Celle ci produisait de la richesse et cette richesse est redistribué pour garder l'aspect communautaire.
A cette époque on voit l'idée du Stakhanovisme apparaître. Le terme provient du nom du mineur « de choc » Alekseï Stakhanov qui, dans la nuit du 30 au 31 août 1935, aurait extrait 102 tonnes de charbon en six heures, soit environ quatorze fois le quota demandé à chaque mineur.
Ce record avait été décidé par le gouvernement soviétique sous Joseph Staline pour servir de modèle aux autres salariés, afin qu'ils travaillent plus et si possible qu'ils dépassent les cadences et les quotas de travail imposés.
Le stakhanovisme s'inscrit dans une politique tentant d'accroître la productivité par un contrôle plus sévère des travailleurs. En 1932, le pouvoir