Rire a l hopital psychiatrique de malévoz
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et confortable. Il fallait rendre à la société ce qui la concerne. Parce que si l’hôpital soigne, il n’est pas tout puissant. Il ne peut à lui seul trouver et donner des réponses à des maux dont l’origine est le plus souvent à chercher dans une mauvaise organisation sociale, marquée par des contraintes de plus en plus forte sur l’individu. L’Association valaisanne psychiatrie et société, a consacré l’essentiel de ses maigres ressources à cela. A décloisonner, à interroger, à mettre en relation et en dialogue divers acteurs de la société valaisanne. Il y a eu des médecins bien sûr, quelques sociologues aussi, des