RKZLKFZ

304 mots 2 pages
Quatrième partie[modifier | modifier le code]
Fondements de la métaphysique

Descartes reconsidère tout ce qu’il sait au cours de méditations métaphysiques6 ; tout objet, toute chose et toute pensée devient alors faux et illusoire.
Or, puisque tout est illusoire, il se demande comment savoir avec certitude qu'il existe lui-même, qu'il n'est pas lui-même néant. Pour Descartes, le simple fait de se poser cette question l'amène aussitôt à une réponse certaine : « je pense, donc je suis ». Il jugea cette vérité comme le premier principe incontestable de la philosophie qu'il cherchait.

Puisqu’il a trouvé une proposition qui soit vraie, il se demande ce qui doit être requis pour qu’une proposition soit vraie ; et il conclut que « les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement, sont toutes vraies », mais il ajoute tout de suite qu'il y a quelques difficultés à « bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement ».

Il établit ensuite le concept de dualité de l'âme et du corps : ce qui fait être un humain, c'est son esprit ; cette « substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni d'aucune chose matérielle ».
Puis il en vient à se dire que la perfection de ce savoir acquis (cogito, ergo sum) venait de quelque chose d'extérieur à lui-même. Il émit alors l'idée que les éléments de la nature étaient existants, et comprit que sa propre conscience lui avait été insufflée par la nature, par un tout dont chaque élément dépendait l'un de l'autre.
Ce tout, c'était Dieu : la perfection, l'immuable, l'infini, l'éternel, le tout connaissant, le tout puissant, par opposition au néant, et autres choses comme le doute, l'inconstance, la tristesse...

L'idée de Dieu acquiert le statut d'idée la plus certaine et la mieux démontrée, dans la continuité des objets de la

en relation

  • DKLSK
    1919 mots | 8 pages
  • QUIZZ
    437 mots | 2 pages
  • Sans Nom 1
    352 mots | 2 pages
  • La nature est-elle bien fait-elle ?
    1662 mots | 7 pages
  • Kjhgfj
    369 mots | 2 pages
  • Kjjhchkjcg
    772 mots | 4 pages
  • KIENHOLZ
    854 mots | 4 pages
  • Explication de texte : russell
    1069 mots | 5 pages
  • Marx
    363 mots | 2 pages
  • Philo
    332 mots | 2 pages
  • HJKMLK
    506 mots | 3 pages
  • Kkjhgfds
    618 mots | 3 pages
  • Dans quel sens peut on dire que l'homme n'est pas un être naturel
    1351 mots | 6 pages
  • kldfjfnjk
    497 mots | 2 pages
  • KORCZAK
    3901 mots | 16 pages