Robert ludlum
À la fin de la guerre, il reprend des études à l'université wesleyenne, puis devient comédien et metteur en scène. À quarante ans, il se tourne vers l'écriture.
Son premier suspense, L'Héritage Scarlatti, publié en 1971, est immédiatement un succès et l'impose comme le maître du roman d'espionnage. Depuis, il a publié une série de romans qui sont autant de chefs-d'œuvre du genre.
Avant sa mort, il vivait dans le Connecticut avec sa femme. Grand voyageur, il aimait aussi séjourner dans les capitales de la vieille Europe où se situent nombre de ses intrigues.
Il est décédé en 2001 à l'âge de 73 ans.
Il a écrit 26 romans d'espionnage et vendu 210 millions de livres de par le monde. Ces livres ont été traduits dans 32 langues différentes.
Œuvres posthumes et exploitation du nom de l'auteur[modifier]
Robert Ludlum a disparu en 2001, mais l'exploitation commerciale de son nom, très porteuse, s'est poursuivie après son décès. Au départ, Gayle Lynds s'est chargée de récupérer, d'achever et de mettre au goût du jour des manuscrits non encore publiés de l'auteur. Le lecteur peut se convaincre sans peine que, face à la raréfaction des manuscrits ou des synopsis exploitables, les romans posthumes de Robert Ludlum ne lui doivent rien du tout et paraissent désormais avec son nom en guise d'enseigne. Robert Ludlum est ainsi devenu le titre générique d'une collection de l'éditeur St.