Rôle d'un juriste dans une banque centrale
Le concept de banque centrale a expliqué Michel Albert[1] a été utilisé pour la première fois au 19e siècle par l'économiste français Léon AUCHER.
Pour Denise Flouzat[2] une banque centrale se definit comme étant une institution qui se situe au centre des systèmes de paiement afin de garantir le règlement et le contrôle, de l'expansion de la masse monétaire, c'est l'institution considérée comme apte à préserver la confiance dans la monnaie du pays. Dans la perspective de D. Flouzat, une banque centrale joue un rôle fondamentale dans la fabrication et la circulation des monnaies. Pour Michel Albert[3] « une banque centrale est une institution publique et autonome. L'auteur parle de l'autonomie d'une banque centrale , c'est dans le sens que celle-ci n'a de compte à rendre, à aucune autres institutions publiques ou privées de son pays.une banque centrale,en tant qu'institution étatique fonctionne non-sulement sous l'égide de la constitution mais aussi suivant son propre règlement intérieur.A cet effet, on peut déceler l'étoitesse des rapports entre cette institution et les règles de droit qui s'y découlent qu'ils sagissent de loi suprême ou du règlement intérieur.Dans cette même perspective on sait que le droit se définit par certains juristes comme étant un ensemble de règles et de normes organisant le corps social[4] la règle de droit est un" outil indispensable à la disposition du juriste qui lui permet de travail conforme en principe à l'idéal de justice ,elles se posent comme étant l'objet par excellence du juriste qui peut non seulement émet son point de vue mais aussi participer à l'élaboration des notes jurisprudentielles et doctrinales.D'ailleurs l'insistance pèsent beaucoup plus sur cette dimension réflexive que doit avoir le métier de juriste.

D'un côté, une banque centrale ne saurait fonctionner en dehors des normes et des lois et de l'autre,il y a le métier de juriste qui repose ésentiellement