Roman autobiographique
La disposition du titre du livre découvert par l’enfant crée un effet d’attente, le narrateur est impatient de découvrir le livre qui va lui permettre de quitter le monde réel. A la suite du titre, ligne 20 « Il est nuit » il y a une ellipse temporel suivie de deux questions rhétoriques ligne 21 et 22, le personnage a perdu la notion du temps car la lecture lui a procuré un moment de plaisir. Des lignes 26 à 34, un rythme particulier s’installe, il y a seulement deux longues phrases ; le narrateur ressent la liberté et l’exaltation d’un nouveau monde. On retrouve plusieurs répétitions métaphoriques du verbe « dévorer », « dévoré » ligne 27, « dévoré par les rats » ligne 42 et « je le dévore » ligne 54 ; le personnage est plongé dans un délire profond,