Sanctuaire de réflexion

(J’ai choisi ce titre car la photographie a été pris dans une chapelle en ruines, qui a donc été un sanctuaire dans le passé, et qui le redevient pour le personnage qui se trouve en quête du véritable elle-même.)

Nous allons analyser cette photographie, qui a été pris le jour et est un plan d’ensemble en plongée. Tout d’abord, nous voyons une jeune femme de profil assis à la fenêtre d’une chapelle en ruines, qui contemple du lierre qui se trouve devant elle. Cela fait référence au cycle de vie et donc de façon métaphorique au temps qui passe. De plus, nous pouvons remarquer la taille modeste du personnage comparé à la grandeur des ruines et de la nature qui l’entourent. En outre, au premier plan, nous pouvons repérer les côtés d’une fenêtre par laquelle on observe cette scène. Cela nous met en évidence que le personnage est complètement entouré par ces ruines et ne peut pas s’y échapper, ce qui accentue l’idée que l’être humain est mortel. Nous pouvons ajouter à ceci que la nature, qui est très présente, et le fait de se trouver dans une chapelle (et donc un endroit sacré de Dieu) symbolisent l’immortalité, en opposition aux ruines, une preuve de la détérioration continuelle des ouvrages de l’homme. Néanmoins, nous pouvons relever la solitude de ce personnage, et par conséquent son recours à la nature. Ensuite, nous pouvons souligner la présence de plusieurs lignes de fuite, du mur au premier plan jusqu’au lierre du fond, qui se rejoignent à la fenêtre où se trouve la fille. Ce point de fuite est un endroit très clair de la photographie, de même que les deux autres fenêtres par laquelle la lumière traverse. Ces ouvertures sont en contraste avec la fille et l’intérieur des ruines, qui sont eux-mêmes sombres. Dès lors, nous pouvons penser que l’extérieur est hors de porté pour la fille, ce qui fait allusion au fait d’être emprisonné entre ces murs et donc d’être un prisonnier mortel, tandis que la nature peut franchir