Dans un premier temps, nous allons caractériser le roman « La Fortune des Rougon » de Zola comme étant un pamphlet politique. Il dresse tout d’abord une caricature féroce de la bourgeoisie réactionnaire de province, couarde, opportuniste, jalouse, désireuse de faire fortune à tout prix. Ensuite, une figure de style prime dans la manière dont Zola a décider d’écrire son roman. Par exemple, Zola s’est inspiré

On peut reconnaitre que Plassans en provence est comparé a Flassans dans le var et >Flassan dans le vaucluse ; les promenades sur le cours mirabeau au cours sauvaire ; les vieilles portes aux remparts croulants ; la direction de lyon et celle de nice sur la grande-route, les baignades des enfants dans les trous d’eau de la viorne et celle du petit zola dans l’arc - expeerience personnelle de zola
Zola a comparé la blessure infligée par erreur au gendarme rengade, la mort du brigadier Lambert, pour lequel 2hommes, le meutrier et un innocent, payèrent de leur vie.
Zola s’est inspiré de la capitale et les cadavres de la place de l’hotel de ville a plassans soient pour lui un rappel provincial de la fusillade des boulevards. = C’est en ce sens qu’on doit pouvoir conclure que zola a additionné pour faire son plassans les lieux et la société d’Aix, les evnement historique de Lorgues et du var, et le sanglant point d’orgue de paris. Zola critique les républicains : On mesure le dégout que la vie de province au milieu du siècle dernier a pu inspirer a la jeunesse intellectuellement émancipée et ce témoignage involontaire qui n’est peut etre pas le moins frappant de ceux que zola nous apporte. L’admirable, dès lors, est que Zola ait résisté a la tentation d’idéaliser leurs adversaires et qu’il ait porté sur ceux de ses héros qui appartiennent au camp républicain un regards tout aussi critique avec le seul adoucissement qu’inspirent la détresse et le malheur. Aristide Rougon, d’après Zola est un incrédule et un arriviste, sans principes solide et qui trahira au