Rouseeau
Il est considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, caractérisée comme l'aboutissement de son système « positiviste ». Il s'appuie sur les sciences dites « positives », aujourd'hui appelées « exactes » ou « dures » (notamment les mathématiques et la physique), afin de réaliser une triple tâche : éliminer les spéculations métaphysiques abstraites, établir les critères de la rationalité des savoirs, et comprendre les lois de l'organisation sociale.
Auguste Comte a été secrétaire particulier, puis disciple du comte de Saint-Simon. Son influence sur l'épistémologie française est considérable.
Auguste Comte étudie au lycée de Montpellier. Il perd la foi à l'âge de 14 ans. Il est reçu à 16 ans à l'École polytechnique dans les premiers en 1814. Il est surnommé Sganarelle par les élèves de sa promotion, ou le philosophe. Il complète sa formation par la lecture des œuvres de David Hume, Condorcet, Joseph de Maistre, Bonald, Bichat, et Gall[Qui ?].
À la Restauration, en avril 1816, toute sa promotion est congédiée pour manque de discipline par le comte de Vaublanc. Il trouve en 1817 un poste de secrétaire auprès de Saint-Simon (Claude-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon, à ne pas confondre avec le duc de Saint-Simon auteur des mémoires de la cour de Louis XIV), avec qui il collabore sur différents ouvrages jusqu'à une rupture orageuse en 1824.
Il fait la connaissance en 1825 de Caroline Massin, ancienne prostituée, et voudrait la sortir de sa condition en lui donnant des cours de mathématiques. Un mariage civil est d'abord célébré, puis un mariage ecclésiastique suite aux instances de la mère de Comte.
Il rencontre Félicité Robert de Lamennais. Il assiste à l'enterrement de Saint-Simon et participe vers fin 1825 - début 1826 aux réflexions sur la nécessité