Royan le smuck
Section 2 L'individu face à l'État
On trouve la transposition en politique du credo économique vu : pas d'Etat ou peu d'Etat. Cela peut se décomposer en trois points : la liberté de l'individu face à l'État (contenir l'État), la promotion de l'entreprise privée c'est à dire l'association, les préoccupations sociales du libéralisme.
LE libéralisme vise unje politique qui contiendrait le pouvoir d'abord en le divisant au sommet, ensuite en supprimant la monarchie absolue. Tout cela doit être inscrit dans la Constitution d'où les Chartes et les droits (libertés individuelles...).
Ces Chartes tentent de traduire les volontés populaires et sont une caisse de résonance des volontés des dirigeants. Le libéralisme c'est aussi une défense de la propriété individuelle qui est concue comme un droit, comme un prolongement de la personne (le seul endroit où la personne ne peut pas être entravée par l'État). Cela va être à la source de la montée en puissance de la Justice administrative. C'est là que le marxisme va s'écarter totalement du libéralisme.
Le libéralisme est enfin une revendication démocratique particulière. On va dire que c'est une revendication démocratique qui se rapproche de la démocratie antique dans la mesure où elle est élitiste : la démocratie ne saurait être égalitaire. Il paraît clair que le peuple ne peut pas gouverner dans la réalité (il n'est pas assez éduqué et ne s'intéresse pas à la chose publique). LE peuple en revanche est à même de choisir quelque soit son niveau d'éducation ses représentants.
Rousseau en revanche dit qu'un peuple représenté est un peuple trahi... Il faut donc que le peuple puisse créer des associations.
La révolution française, à l'origine libérale, s'inscrit en faux contre cette position puisque dès 1790 la loi Chapellier va interdire les coalitions. La révolution se durcit assez vite et va interdire ce phénomène associatif dont elle